Firebug à la sauce Opera : Dragon Fly
Au début du mois de Mai, Opera a fait un du buzz concernant la sortie d’un nouvel outil dédié au navigateur Opera.
Cet outil serait à l’intention des développeurs web.
A part ces informations, rien n’a vraiment circulé. Sur le site officiel, seul était visible un compte à rebours indiquant le temps restant avant la mise en ligne de l’outil.
Au moment où est apparu 00:00:00
, le décompte s’est arrêté et patatra : Rien. Mauvais début pour Opera.
1 heure plus tard, le site était à jour et proposait enfin en téléchargement une nouvelle version d’Opéra, la version 9.5beta2 couplé à DragonFly.
Concernant ubuntu, les diverses versions de l’os était pris en charge.
1er surprise
Une fois le paquet correspondant à la hardy téléchargé, je constate qu’en fait c’est la même version que celle diffusée depuis la veille sur le site officiel.
Quel intérêt de faire autant de buzz alors et d’avoir un site qui fait mauvais genre si dans le même temps tout est disponible depuis la page d’accueil du site officiel ?
Un firebug by Opera
En lisant rapidement la page d’accueil, on comprends que ce fameux DragonFly a pour objectif d’être un outil à la sauce Firebug.
Firebug servira donc d’étalon de référence.
Accéder
Firebug c’est simple en bas à droite une icône, ça ouvre une fenêtre directement dans le navigateur et on peut inspecter le code de la page.
DragonFly, c’est une autre histoire. Après avoir lu la page très claire (ironie inside (c)) du site, on comprends que Outil>Avancé>Outil développeur
nous amènera à l’outil tant convoité.
On est bon pour se faire un post-it à poser sur le bord de l’écran.
Lancer
Comme dit précédemment avec Firebug, sur le navigateur en parallèle on trouve le site en consultation et la fenêtre de debogage.
DragonFly au contraire une nouvelle fenêtre qui cache donc le navigateur, ceci va être très pratique. De plus il faut sélection grâce à une liste la page à inspecter et en plus il faut recharger DragonFly pour que celui fasse scanne la page.
Ceci ne semble pas très ergonomique.
Tester
Une fois lancé, il faut bien tester. Mais là ça sera pour une autre fois, car le parcours du combattant à suffit pour m’arrêter là.